dimanche 28 décembre 2014


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mardi 23 décembre 2014

Les êtres de papier











Résumé :

La villa du baron de Verville, Les Êtres de papier, présente toutes les caractéristiques d'un plateau de Cluedo. Architecture gothique, aménagement fin de siècle (le XIXe), passages secrets, personnages déjantés et dans les placards tout ce qu'il faut pour commettre un crime parfait. La différence, c'est qu'à côté des occupants de ce véritable château des hauteurs de La Rochelle, le colonel Moutarde fait figure d'éphèbe effarouché. Et en regard des machinations meurtrières qui se trament aux Êtres de papier, une partie de Cluedo vous a des airs de thé dansant au presbytère. L'ennui, c'est que le baron a disparu juste après avoir appelé Jérôme au secours. Notre détective découvre pourtant un château loin d'être désert : c'est fou ce qu'on y croise de beau linge. Le fils et la fille du baron, de petits impatients dont on devine que les prières du soir comportent un couplet sur la vanité de la fortune et la brièveté de la vie... de papa. Mathilde, la gouvernante obsédée par les portes qu'elle préfère fermées à double tour surtout quand la chambre accueille un détective décidément fouineur. Un majordome avare en confidences et un jardinier trop bavard complètent ce vivant tableau. Un tableau toujours prêt à se transformer en nature morte.

Auteur :

Le Tendre publie ses premiers scénarios en 1975 dans Pilote et Tousse Bourin. La même année, il débute La Quête de l'oiseau du temps dans Imagine, luxueux fanzine dirigé par Rodolphe. La série, relancée pour Charlie Mensuel en 1982 et publiée ensuite par Dargaud rencontre un très grand succès et est aujourd'hui considérée comme l'acte fondateur de l'Heroic fantasy en bande dessinée francophone.Il crée ensuite avec Pierre Makyo et Alain Dodier en 1985 Jérôme K. Jérôme Bloche, un détective dans la plus pure veine des histoires de détective, dont il abandonne le scénario après les deux premiers volumes, en 1987 Le Cycle de Taï Dor, autre série d'Heroic fantasy à succès, Labyrinthes en 1993. Actuellement, il s'occupe principalement de son western asiatique Chinaman, inauguré avec TaDuc en 1997

Makyo débute sa carrière dans Le Journal de Spirou et dans le journal Pistil avec la série des Polluks. Il commence à se faire connaître au milieu des années 1980 avec la série Jérôme K. Jérôme Bloche dessinée par Dodier et l’album Le Roi Rodonnal. C'est en créant avec Laurent Vicomte la série Balade au bout du monde, en 1981, qu'il connaît le succès. Le premier cycle (1981-1989) illustrée par Vicomte, auxquels succèdent HérenguelFaure et N. G. Laval. En parallèle, il écrit et dessine seul la série Grimion gant de cuir. Il abandonne le dessin au tournant des années 2000 pour se consacrer exclusivement à l'écriture de scénarios.



Le sursis












Résumé :

Dans la petite bourgade de Cambeyrac, en Aveyron, la guerre occupe tous les esprits, mais la vie ne s'arrête pas pour autant : pastis en terrasse et partie de boules devant le café, la vie pourrait être plus dure... C'est sans compter sur l'ordre de mobilisation, qui envoie tous les jeunes gars du coin au massacre, et les incursions de l'armée allemande dans les rues du village, qui ont vite fait de rappeler la population à une triste réalité. Ainsi se déroule le fil de l'histoire, entre l'obstination de certains à ignorer le conflit et la volonté d'autres à y prendre une part active. Les habitants de Cambeyrac s'en trouvent divisés, entre ceux qui attendent l'arrivée des Alliés avec impatience et ceux qui ne cachent pas leur sympathie pour la cause de l'occupant. À l'image de tout un peuple et chacun à leur manière, tous s'engagent dans une lutte fratricide qui voit les camarades d'antan s'opposer les armes à la main. Dans ce contexte pour le moins délicat, Julien déserte et se cache dans le vieux pigeonnier du village…

Auteur :


Enfance de banlieue sans histoires, le petit Jean-Pierre, brillant en histoire, obtiendra son bac en 1972. Etudes de graphiste publicitaire, d’art plastique, il finira par s'orienter vers la bande dessinée. Dés la fin de l’année 1977, il publie ses premiers récits complets dans Pilote, puis sa collaboration avec Jakie Berroyer donnera naissance au petit "Goudard" en 1978. Parallèlement, certains de ses dessins sont publiés dans la presse : l'Evénement, le Nouvel Obs, Sciences et Avenir et il collabore également à Okapi et Je bouquine.

Schumi














Résumé :

L’école accueille le drôle et dynamique élève Schumi… et son fauteuil roulant. Schumi se heurte à l’abruti Guntmar et palabre avec l’alien à l’origine de sa paralysie. Une excellente série humoristique traitant intelligemment du handicap…
Ce jour là, l’instituteur Mr Leroy présente un nouvel élève aux enfants de sa classe, Sébastien Macaire, qui a une particularité de taille : il est en fauteuil roulant. D’emblée, celui-ci soulage l’ambiance en demande qu’on l’appelle Schumacher et en débitant sans cesse des vannes. Evidemment, la seule place dispo pour lui est au fond, à côté du cancre brutal, Guntmar. Mais Schumi n’est pas du genre à se laisser impressionner et fera le plus souvent parade au muscle à l’aide de sa cervelle. Dès la première récré, ses nouveaux copains lui demandent comment il s’est retrouvé handicapé. Schumi leur explique qu’il a surpris un extraterrestre dans son jardin, en train de fomenter un plan d’invasion de la Terre. Armand de la Batelière, c’est son nom, a alors tiré sur Schumi avec son pistolet laser pour l’empêcher de prévenir les autorités et Shumi est resté paralysé moteur à vie. Au terme d’une histoire aussi saugrenue, tout le monde se marre… sauf que c’est la pure vérité ! Certes, depuis lors, Schumi est devenu plutôt copain avec Armand de la Batelière, qui a garé sa soucoupe au fond du jardin. Le handicapé tente de comprendre cette puissante velléité d’invasion. Entre deux, à la maison et en classe, sa paraplégie lui confère évidemment une position sociale particulière, qui n’est pas toujours un handicap…

Auteur :


Il est tout d’abord instituteur avant de devenir scénariste. Ce sont ces années passées dans l’enseignement qui lui inspireront les histoires de L'Élève Ducobu, son premier grand succès.

Créateur de chansons pour enfants, concepteur de CD-ROM, il travaille un temps dans la revue Tremplin avant d’entrer dans Spirou avec son camarade Falzar où ils publient un premier scénario en 1991. Ils s’imposeront vite comme des piliers de l’animation du magazine sous le nom des « Potaches » où ils vont placer moult scénarios avec la bienveillance du rédacteur en chef. Après plusieurs histoires courtes Zidrou entreprend Les Crannibales avec Jean-Claude Fournier. Ces gags autour d’une famille d’anthropophages publiées dans un magazine jeunesse feront beaucoup parler d’elles.

Il créera également Le Boss avec Philippe Bercovici, ce personnage portant les traits de Thierry Tinlot sera très présent dans les divers animations du journal.
Continuant dans la foulée la création de diverses séries jeunesse et cannibalisant le journal, s’imposant comme l’héritier de Raoul Cauvin, c’est paradoxalement aux éditions du Lombard qu’il connaîtra son vrai succès avec l’Élève Ducobu.

Zombillénium

   




sumé :

C’est à Zombillénium, le parc d’attractions horrifiques que vous pouvez avoir les plus gros frissons de votre vie et pour cause : le parc est géré par de vrais monstres. Mais Zombillenium est une entreprise et, comme toute entreprise, le parc doit rendre des comptes et dans son cas il doit accumuler des âmes. Et même si le parc marche ce n’est pas suffisant pour le big boss, le démon Behemoth. C’est pourquoi il a lui-même envoyé le vampire Bohémond Jaggar de Rochambeau pour augmenter rendement et productivité. Autant dire que des changements et des temps très durs attendent le parc, et ses visiteurs.

Auteur :


C'est dans le dessin animé qu’Arthur de Pins débute sa carrière d'auteur graphique, avant de rejoindre Lezilus en 2003. De l'animation, il importera la fraîcheur et l'expressivité des personnages, ainsi qu'un goût pour la dérision, omniprésent dans ses dessins (si si, cherchez bien: aucun d'entre eux n'est absolument "sérieux"). Son goût pour la création de personnages et son désir de les voir se débattre dans des situations rocambolesques l'ont naturellement amené à s'épanouir dans la bande dessinée, à travers trois séries à succès : Péchés Mignons (Fluide Glacial), Zombillénium (Dupuis) et La Marche du Crabe (Noctambule).